C'est comme C, c'est comme ça

- C comme chat : vous n'y couperez pas ! :D Pensez à mon futur petit Fion... (j'attends de voir la portée en photo avant de décider si je craque. Oui, je suis forte. Ou pas). Les chats et moi, c'est l'amour. J'adore leur côté mystérieux, délicat, leur dignité, et pour rien au monde je ne les trouve indépendants et solitaires. Tranquilles et pas suants, ça oui. Puis ça sent bon, un chat... Le mien il court à la porte pour me câliner, quand je rentre. Il vient se blottir contre moi quand je suis triste. Il est sur mes genoux quand j'écris mon blog. Ou que je sois, il vient se poser tout près (lit, canapé, fauteuil, tapis)... Ils ont des petits trucs rien qu'à eux, qui les rendent si particuliers, uniques... J'aime leurs regards et attitudes de grands félins sauvages, alors qu'ils sont tout petits. 
Des chats, j'en ai plein, en déco, aussi. Des statuettes en bois, des sculptures, par exemple, d'un peu toutes les tailles.   

- C comme chocolat ou cacao (voire cappuccino) : vous n'y couperez pas ! (re)  J'adore, chaud ou en morceaux. Ma drogue, mon réconfort, mon rituel. Un manque d'affection ? J'ai un faible pour le Poulain en poudre, mais aussi pour ceux aux épices, ou à l'orange... 

- C comme cuisine, du coup. Du Bruit dans la Cuisine, le magasin qui fait de supers chocolats en poudre, et plein d'autres "budules" pour cuisiner. Je rajoute Debout dans la Cuisine, je pense au magasin à chaque fois que je lis le titre du blog ! Si je finis obèse et ruinée, ça sera à cause de ça...

- C comme complexée. Moi, dans toute sa splendeur... ça bouffe la vie, ce truc-là, sans rire.

- C comme cinéma et concert : regarder un bon film, être émue, remuée, amusée... Un concert : la musique, le lien qui unit tout le monde à cet instant-là, c'est fort. 

- C comme chamallow : mes préférés, c'était les verts ! Je n'en trouve plus en magasin. Obligée de me rabattre sur le chocolat. Je rajoute calissons.
Et une vidéo sur les chamallows (attention, âmes sensibles... Presque aucun chamallow n'a été maltraité...) :   

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- C comme Cohen, Leonard. A plus de 70 ans, je peux vous dire qu'il assure sur scène. Superbe concert, magnifique voix grave et sensuelle... A écouter ici (ou en dessous, si vous aimez les lecteurs format poster. Vous pouvez agrémenter votre lecture, comme ça, aussi...) ;)

Découvrez la playlist cohen avec The Webb Sisters

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- C comme césarienne et cicatrice. Naissance de mon bout de chou. Souvenir à vie sur mon corps. Je l'aime bien, ma cicatrice, un peu comme certains se font tatouer... voilà l'idée que j'en ai. Elle a intrigué, touché, ému (?) deux hommes, dans nos premiers moments intimes.

- C comme câlins et caresses : à donner et recevoir, sans modération. J'adore caresser la peau de mon homme, toujours ce subtil mélange virilité/douceur. 

- C comme caillebotis : ma terrasse que je n'aurai pas. J'imaginais quelque chose de doux, des fauteuils, des coussins, des C-comme-citronniers et autres plantes... l'odeur du chèvrefeuille le soir... ou une brise avec un rayon de soleil... une table basse en teck, un coin ombragé, abrité... un bon bouquin. Bon, j'ai fait, à échelle miniature, sur mon balcon.

- C comme cafard : petit animal de compagnie qui m'a adoptée... A élu domicile chez moi. J'essaie de l'ignorer, la plupart du temps. Vous connaissez Oscar, le cafard ?

- C comme caddie : faut TOUJOURS que je chope celui qui a une roue en travers, ou bloquée, ou qui c-comme-couine tout le long des courses, ou qu'on ne peut pousser qu'en biais... Toujours ! Ces bêtes-là repèrent les mamans blondes et démunies.

- C comme canard : en confit, magret, aiguillettes... au miel, à l'orange, aux herbes... (j'ai faim !)

- C comme coin-coin, du coup ; comme "ronchonner dans son coincoin"... Pardon. Comme les canards vibrants ! Certains sont très jolis, mais ils sont trop bruyants, je vous jure. Pas glop de réveiller la mamie du dessus quand nous prend une envie de jouer avec son canard dans le bain... :D Ils flottent bien, les gros, ceci dit.

- C comme caniche : "modèle" de toutou que je n'apprécie guère.

- C comme capiton. Définition de "capiton" : "bourre de soie qui était employée surtout pour le rembourrage des sièges." Je ne suis pas un siège ! Alors, pourquoi essaie-t-on de me rembourrer, même à 45 kgs ? Pourquoiiiiii ? *trop injuste*

- C comme cascade : pour de belles photos, pour le bruit apaisant, frais, de l'eau qui coule. Et un brin d'innocence, je ne saurais dire pourquoi. J'aime.

- C comme cigarette : une belle saloperie. Des parents qui ne sont jamais arrivés à arrêter. Un homme qui ne fait que reprendre. Des angoisses. Une maman avec un cancer. Un homme qui tousse ; de grosses disputes dues à mes peurs. Ses humeurs à subir quand il est en manque.   

- C comme chromosomes : j'aimerais bien savoir ce que donnent les miens avec ceux de mon mâle...

- C comme cloître : le monastère de Jeronimo, à Lisbonne. Souvenir de voyages, souvenir d'enfance. De magnifiques photos, de belles couleurs, le jeu entre les ombres et le soleil... Voir ici, ou là, ou encore ici, et même là... 

- C comme cogiter. Moi, je suis blonde. Moi, je cogite. Surtout, quand je suis en position allongée, dans le noir. Vous savez, les poupées ? On les couche, elles ferment les yeux ; moi, je m'allonge, je pense. Je peux passer des nuits blanches géniales, comme ça, malgré la fatigue.

- C comme cognasse : "Coing sauvage, fruit du cognassier non greffé". Ne vous méprenez pas ! 

- C comme cocon / cosy / chambre / couette / coussin / canapé : mon chez-moi. Ma bulle. Mon nid. 

- C comme cumuler : moi, depuis quelques mois... Y a des moments où ça pête. Vous allez avoir droit à un article "coming out", alias déballage. C'est ça, ou le c-comme-cloître.

- C comme cruche : qu'on me prenne pour une cruche, je ne supporte pas, ça me fiche hors de moi. Je vis avec deux personnes qui me donnent ce sentiment-là, parfois. Ma fille, qui pense que je ne vais pas capter ses mensonges et histoires... Mon homme, qui pense que parce que je suis amoureuse, je suis naïve, je fais confiance, et je ne vois rien. Oh si, j'en vois, des choses, j'en pressens beaucoup, aussi, j'en réalise certaines. J'apprends à rester silencieuse, à accepter sans broncher. Mais je me carapacette (du verbe se carapacetter, mettre une carapace, si si). Je deviens indifférente, je prends de la distance. C'est pas bon. Mais parfois, encore, je pousse ma gueulante, quand la mise en cruche a été trop flagrante.
Qu'on se le dise, la blonde n'est pas cruche !

- C comme complicité : ces moments avec ma fille, qui nous rapprochent par un bonheur tout simple. Ces moments avec mon homme, qui rattrapent tout, qui font qu'on peut aller très loin, dans diverses expériences. Sans complicité, il n'y a rien. J'en ai besoin, besoin de c-comme-confiance, pour vivre des instants que je n'aurai jamais osés, avant.
On peut rajouter compréhensif. ça manque à mon homme, par moments. :-/   

- C comme coyote : Batlik, le revoilà... Comme le Coyote. Le final est tout simplement magnifique. Enfin, pour moi (mais j'ai du goût, c'est une évidence). 

- C comme cocue : un jour, je serai... si ce n'est déjà fait. Ouais, c'est pas juste des mots. C'est pas de la jalousie mal placée, pas de la parano. C'est une "demande de concubinage cash"... Mais moi il m'aime, hein... Dites-moi qu'il m'aime. Si, il m'aime...
Mais il en faut, de la compréhension, de la complicité, pour accepter ça sereinement. J'y travaille (un peu seule, c'est vrai. Il n'assume pas tous les jours, en fait, sous ses airs de liberté revendiquée... Donc il préfèrerait c-comme-cacher, quitte à me prendre pour une c-comme-cruche).

- C comme club échangiste : vous voilà prévenus. Je n'aurais jamais cru, et puis... et puis ça fera un article séparé. Un monde à part. Mais n'allez pas imaginer des horreurs, je suis une fille bien (mais si !) et normale, hein... ;) Juste, envie de dépasser ses limites, et de vivre.   

- C comme caraco : lingerie... je m'y suis mise tardivement. Puis finalement, j'aime bien me sentir femme, sexy. Et ça fait briller les yeux de mon homme, et ça le rendrait presque timide, un instant... avant la gourmandise.

Un caraco pour caracoler... :)

- C comme charme, charisme, chavirer, couple, coquine, compagnon, commissure (des lèvres... so sexy), conquérir, croustillant... (*version soft)

- C comme cul, coït, corps, coucher, crapuleuse (la sieste), contact, concevoir (un bébé), compétent (hé ! ça compte) cochonneries. (*version pour adultes consentants)

- C comme cocktail, cocotiers, noix de coco : une île, une piña colada, une plage... Punaise, je crois que j'ai besoin de vacances.

- C comme crépuscule. Quelques souvenirs, quelques nuits, se réveiller, se frôler, se caresser, dans la semi pénombre, éclairés uniquement par la lumière de la lune. Ne rien dire, juste laisser parler les mains, les peaux... Ecouter les respirations troublées, le désir. Le voir, en contre "jour" (contre-nuit ?) sa silhouette, son profil, nos corps... ces ombres diffuses... Des moments très doux, sensuels et intenses. Puis le retour au calme, les yeux se sont habitués, mais on les ferme, on se blottit, on se rendort...

Comments

[Bulle Océan]

C'est pas vraiment la définition, mais c'est ce que ça m'évoque. L'avantage de n'avoir pas de volets, juste des rideaux légers... ;)

La même chose au lever du jour, aussi, ça a un petit quelque chose d'unique et troublant, touchant...

[Lilas]

Hiiii : ronchonner dans son coin-coin !! ça me rappelle de bons souvenirs... :D
Bon, le préféré c'est quand même le crépuscule.
Puis pour les trucs pas drôles : Courage !